Vendredi le 16 aout

Vendredi le 16 aout :

Ce matin, nous nous levons plus tard que d’habitude, je profite de la belle vue sur la terrasse.  Nous jouons quelques parties de trous cul avant de déjeuner. 

Le déjeuner est très maigre car les provisions se font rares et notre frigo n’a pas fonctionné donc nous jetons plusieurs restants.  Nous rangeons et quittons Moneglia pour le retour à Thorens Glières. 

Nous arrêtons à Genova pour diner (tôt car nous n’avons pas beaucoup déjeuné).  Laurie ne file pas beaucoup aujourd’hui.  Elle nous dit depuis le début du voyage qu’elle a mal à la gorge et aux oreilles.  Je tente de la soignée avec les gouttes à Marc Antoine et un antibiotique pour mal d’oreille à Marc Antoine.  Avec les problèmes d’oreilles à Marc Antoine.  Nous avons toujours des remèdes pour les infections pour les oreilles.

Il faut dire que depuis le début du voyage, Laurie conserve son habitude de très peu manger le matin.  Elle ne boit pas beaucoup d’eau non plus.  Avec la chaleur que nous connaissons, elle a pu se déshydrater.  . 
 

À Gênes, nous trouvons un stationnement près de l’aquarium.  Nous  magasinons un peu et allons diner dans un restaurant typiquement italien. Les serveurs ne parlent qu’italien.  Laurie touche à la moitié de sa lasagne.  C’est la première fois que Marc Antoine n’est pas satisfait de son repas.  Il a pris une assiette de poisson.  Les poissons sont arrivés avec la tête et toutes les arêtes. 

Nous poursuivons notre magasinage dans les petites ruelles de Gênes.  Achat d’aimants, de sacoches pour les filles, de gilets de soccer pour Marc Antoine et de lunettes fumées.  .

   Marc Antoine est au 7^ième ciel avec ses trois gilets de soccer.  Je crois sincèrement qui vient de vivre son coup de cœur du voyage

Poursuivons notre voyage en auto.  J’en profite pour poursuivre mon récit.  La grande partie du récit a été faite aujourd’hui jusqu’à ce que la batterie me lâche.  Nous jouons à mathtable avec le ipad.  Laurie dort une bonne partie du voyage.  Marc Antoine parle  presque tout le temps.  Il est très impressionné lorsque 3 Lamborghini nous dépassent.  

Marie-Christine dort, et dispute un peu après son frère qui prend trop de place. (Ce n’est pas la première fois, ni la dernière)

Nous arrivons près du pont du Mont Blanc.  Il y a 30 minutes d’attente.  Nous faisons la ligne mais notre pisse minute n’est plus capable de se retenir. Elle sort de l’auto, va à la course aux toilettes et revient en courant pour rattraper la voiture qui avance toujours.  Nous passons le tunnel.  Dans le tunnel la limite minimum est de 50 km et maximum de 70 km et on doit conserver 150 mètres de distance entre chaque voiture.

 Arrêtons de nouveau à Chamonix pour souper car nous avons faim et la route qui suit le tunnel est très sinueuse.  Laurie ne file pas très bien. 

Nous allons manger dans une brasserie.  Marie Christine dit que c’est son meilleur souper.  Laurie mange une salade. Laurie refuse de visiter un magasin de bonbons. Vous pouvez devinez comment elle ne file pas notre bibitte à sucre. 

De retour à l’auto, Laurie nous dit qu’elle a de nouveau mal au cœur et elle a chaud.  Nous l’assoyons à l’avant avec mon pyjama mouillé autour du cou et avec des sacs au cas où…   Nous débutons la route sinueuse et malheur Laurie est malade.  Nous nous arrêtons quelques kilomètres plus loin lorsque la route le permet pour faire prendre de l’air.  Laurie dort ensuite une bonne partie du retour mais en nous faisant grelotter. Même André et Marc Antoine ont froid, eux qui d’habitude ont toujours chaud. 

Nous sommes contents d’arriver à la maison.  Laurie couche sur le divan afin d’être proche de la salle de bain et éviter de réveiller tout le monde.